áãÔÇßá ÇáÊÓÌíá æÏÎæá ÇáãäÊÏì íÑÌì ãÑÇÓáÊäÇ Úáì ÇáÇíãíá liilasvb3@gmail.com






ÇáÚæÏÉ   ãäÊÏíÇÊ áíáÇÓ > ÇáÞÕÕ æÇáÑæÇíÇÊ > ÑæÇíÇÊ ãäæÚÉ > ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇáÊÓÌíá

ÈÍË ÈÔÈßÉ áíáÇÓ ÇáËÞÇÝíÉ

ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ English & French E-Book Main Fourm


ÅÖÇÝÉ ÑÏ
äÓÎ ÇáÑÇÈØ
äÓÎ ááãäÊÏíÇÊ
 
LinkBack ÃÏæÇÊ ÇáãæÖæÚ ÇäæÇÚ ÚÑÖ ÇáãæÖæÚ
ÞÏíã 19-11-10, 08:03 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 16
ÇáãÚáæãÇÊ
ÇáßÇÊÈ:
ÇááÞÈ:

ÇáÈíÇäÇÊ
ÇáÊÓÌíá: May 2010
ÇáÚÖæíÉ: 166011
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 145
ÇáÌäÓ ÃäËì
ãÚÏá ÇáÊÞííã: nassamate ÚÖæ ÈÍÇÌå Çáì ÊÍÓíä æÖÚå
äÞÇØ ÇáÊÞííã: 10

ÇÇáÏæáÉ
ÇáÈáÏMorocco
 
ãÏæäÊí

 

ÇáÅÊÕÇáÇÊ
ÇáÍÇáÉ:
nassamate ÛíÑ ãÊæÇÌÏ ÍÇáíÇð
æÓÇÆá ÇáÅÊÕÇá:

ßÇÊÈ ÇáãæÖæÚ : nassamate ÇáãäÊÏì : ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇÝÊÑÇÖí

 

5 .
— Merci pour ce délicieux dîner, c'est très gentil de ta part,
apprécia Bridget, alors qu'Adam déposait une assiette de pâtes
sur le set de table devant elle.
Gentil ? Il avait dû se faire violence pour ne pas j e t e r ce déli¬
cieux dîner dans le broyeur à ordures et emmener directement
Bridget dans son lit, dont il avait pris soin de changer les draps. D
aurait donné n'importe quoi pour la cajoler comme un petit chat
et enfouir son visage dans le creux de ses seins généreux.
— Je t'en prie, dit-il en s'asseyant en face d'elle.
Leurs genoux se touchèrent sous la table étroite. Bridget
bougea légèrement, le coinçant entre les siens.
Il s'écarta vivement... pour se retrouver à cinquante centi¬
mètres de son assiette.
Il se rapprocha le plus naturellement qu'il put, en évitant
de frôler ses j a m b e s gainées de collants à coutures apparentes
sous une j u p e moulante noire. Saisissant son verre de vin, il le
vida d'un trait.
Grave erreur. Il savait qu'il devait garder la tête froide en
présence de la soeur de Colin, surtout quand elle arborait ce
genre de pull, un truc en cachemire pourpre dont le profond
décolleté découvrait sa peau claire.Un filet de sueur lui coula entre les omoplates, et il eut soudain
l'impression d'étouffer en dépit de sa chemise légère.
Briget enroula gracieusement ses fettuccine Alfredo autour
de sa fourchette et les porta à sa bouche d'un air béat.
— C'est divin ! Mange avant que ça refroidisse.
La gorge nouée, il se força à avaler ses pâtes, au demeurant
délicieuses.
Cette histoire d'audition au Frisky's lui pesait sur l'estomac.
Bridget affichait un sourire réjoui. Avait-elle pris sa décision?
Et. si oui, laquelle?
— Le boulot, ça va? questionna-t-elle, avant de se lécher
les lèvres pour en ôter la crème. Adam, tu m'écoutes ? insista¬
t-elle, voyant qu'il ne répondait pas, les yeux rivés sur son
adorable bouche.
— Pardon. Oh, le boulot? Je travaille trop, c'est sûr.
— Tu as des ennuis ?
— Rien de grave.
Bridget reposa sa fourchette.
— C'est un sphygmomanomètre que j ' a p e r ç o i s là-bas, sur
la commode ? enchaîna-t-elle en regardant derrière lui. Tu
souffres d'hypertension? A vingt-huit ans? Oh, Adam, que
t arrive-t-il ?
Zut ! Il avait oublié de le ranger dans un placard pendant
qu'il faisait le ménage.
— Rien du tout. Je mange trop de cochonneries, tu sais ce
que c'est.
— A ton âge, tu ne devrais pas avoir de problème de tension,
même si tu te bourres de saletés. Mon père n'a eu de l'hyper¬
tension qu'à cinquante ans bien sonnés.
Merveilleux ! Voilà qu'elle le comparait à son père, qui
ingurgitait des platées de viande et d'oeufs chaque semaine etdont l a femme venait seulement de décider de ne plus cuisiner
au saindoux.
— Tu ne manges pas comme ça habituellement, n'est-ce
pas ? reprit-elle en désignant son assiette de pâtes.
Il secoua la tête.
D'habitude, c'était bien pire. Le vendeur de hot dogs à côté
du bureau l'appelait par son prénom et s'inquiétait les j o u r s où
i l ne le voyait pas.
— A partir de demain, tu vas me faire le plaisir de commencer
un régime pauvre en sodium avec beaucoup de fruits et de
légumes. Si ça ne s'arrange pas, tu devras songer à changer de
job. N'est-ce pas toi qui m'as dit que la Bourse des matières
premières était un boulot de dingue et que les traders se tuaient
à la tâche avant trente ans ?
— C'est arrivé à un ou deux collègues. J'ai décidé d'arrêter
dans deux ans, l e temps de me constituer un petit pécule.
Bridget porta une autre bouchée à ses lèvres.
— A h ? C'est super. Tu as des projets d'avenir?
Il sourit. Il allait lui révéler un secret que son conseiller
financier était le seul à connaître.
— Je pense acquérir une ferme.
Les yeux exorbités, Bridget faillit s'étrangler.
— Une ferme ? Tu veux devenir agriculteur ?
—- Oui. J'ai l'intention d'acheter u n e petite exploitation dans
le Wisconsin. L'air pur, l'herbe verte, les collines verdoyantes,
tu vois le tableau ? Je compte bien m ' y installer définitivement.
Comme ton père et ton frère.
Comme son père et son frère ? songea Bridget, bouche
bée.
Elle avait réussi à quitter sa ferme natale, et voilà que l'hommede sa vie rêvait d'y retourner ! Si le parquet de la Bourse lui
provoquait de l'hypertension, gérer une exploitation agricole
n'allait certes pas la faire baisser.
— Quel genre de ferme as-tu en tête, A d am ?
— Une laiterie, évidemment.
Evidemment. Il ne connaissait rien d'autre.
— En parlant d'air pur, tu connais la blague : « L'air pur du
Wisconsin sent b o n l a bouse de vache »?
— Bien sûr. Je te rappelle que j ' a i travaillé chez ton père.
Comment aurait-elle pu l'oublier? Il y avait séjourné une
semaine, pendant laquelle Colin et Dane s'étaient ingéniés à lui
réserver les menus travaux, pour qu'il ne soit p a s constamment
dans leurs j a m b e s et évite de se casser les reins.
— As-tu tenté l'expérience ailleurs ? Au cours du stage
obligatoire en entreprise, quand tu étais à l'université, par
exemple?
Adam haussa les épaules avec un certain embarras.
— Pas exactement J'ai effectué mon stage au sein de l'Union
des exportateurs de miel d'Amérique.
Elle réprima à grand-peine un fou rire.
— Du m i e l ? La voilà, la solution. Reconvertis-toi dans
l'apiculture. Tu n'auras pas besoin de traire les abeilles deux
fois par jour.
Adam f i t l a grimace.
— Très drôle, Bridget. Le siège se trouvait à Washington,
et les seules abeilles que j ' a i e j a m a i s rencontrées figuraient sur
des posters géants affichés sur les murs. Entre parenthèses, j ' a i
été incapable d'avaler une cuillerée de miel pendant des mois.
Tu sais, c'est depuis le j o u r où je vous ai vus si heureux dans
votre ferme que j ' a i décidé d'être fermier moi aussi.
Sa sincérité lui alla droit au coeur.
— Ecoute, avant de prendre une décision, tu devrais faireun stage chez mes parents pendant quelques mois, de préférence
pendant la saison du vêlage, quand on a du boulot par-dessus
la tête.
— Riche idée. Ton père est né à la ferme, il sera le mieux
placé pour m'enseigner les ficelles du métier.
Elle avala pensivement une autre bouchée.
Adam était originaire d'un quartier ouvrier de Milwaukee.
Pas étonnant que la campagne exerce sur lui une telle fascination,
mais très peu pour elle. Maintenant qu'elle avait secoué
la boue du Wisconsin de ses pieds, elle n'avait pas la moindre
envie d'y retourner. La grande ville lui tendait les bras, et elle
avait bien l'intention d'y faire son trou.
Adam vida son verre et saisit l a bouteille pour leur resservir
une tournée.
— Merci d'avoir écouté mes projets farfelus, Bridget. Tes
frères croiraient que je suis tombé sur la tête si je leur annonçais
que j e veux quitter un super j o b et cet appartement pour aller
m'enterrer dans un bled comme l e Wisconsin.
Il était timbré, mais, si cela le rendait heureux, elle ne le
contrarierait pas.
— En attendant, tu dois absolument faire quelque chose
pour t a tension, déclara-t-elle, pragmatique.
— Oui, oui. Je te promets de manger mieux, de faire du
sport, de décompresser, de partir en vacances, etc.
Magnifique ! Son entreprise de séduction pouvait parfaitement
s'intégrer à ce programme.
E l l e t e r m i n a son assiette et se leva pour d é b a r r a s s e r la
table.
Adam bondit et saisit sa main, qu'il relâcha aussitôt.
— Laisse. Je le ferai plus tard.
Elle lui sourit et emporta son verre sur le canapé en cuir

 
 

 

ÚÑÖ ÇáÈæã ÕæÑ nassamate   ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÞÏíã 19-11-10, 08:07 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 17
ÇáãÚáæãÇÊ
ÇáßÇÊÈ:
ÇááÞÈ:

ÇáÈíÇäÇÊ
ÇáÊÓÌíá: May 2010
ÇáÚÖæíÉ: 166011
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 145
ÇáÌäÓ ÃäËì
ãÚÏá ÇáÊÞííã: nassamate ÚÖæ ÈÍÇÌå Çáì ÊÍÓíä æÖÚå
äÞÇØ ÇáÊÞííã: 10

ÇÇáÏæáÉ
ÇáÈáÏMorocco
 
ãÏæäÊí

 

ÇáÅÊÕÇáÇÊ
ÇáÍÇáÉ:
nassamate ÛíÑ ãÊæÇÌÏ ÍÇáíÇð
æÓÇÆá ÇáÅÊÕÇá:

ßÇÊÈ ÇáãæÖæÚ : nassamate ÇáãäÊÏì : ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇÝÊÑÇÖí

 

crème du salon, où elle s'assit, puis balança languissamment
sa j a m b e croisée.
— Voilà le dessert ! claironna A d a m en revenant de la
cuisine, les bras chargés d'un plateau de pâtisseries cylindriques
de couleur brune saupoudrées de sucre.
— Prenons-le ici, tu veux ? Viens te détendre un peu à côté
de moi, l'exhorta-t-elle avec un clin d'oeil malicieux.
Il resta à une distance respectable et lui offrit un gâteau.
— Goûte. Ce sont des cannelés, la spécialité maison.
Elle mordit dans la friandise croustillante et fourrée aux
amandes tandis qu'Adam la contemplait, les yeux assombris
de désir, le souffle court.
— C'est succulent ! s'extasia-t-elle en se léchant les lèvres.
C'est dur à l'extérieur et onctueux à l'intérieur. Tu en veux un
p e u?
Sans attendre la réponse, elle préleva un peu de crème et
l'approcha des lèvres d'Adam.
I l n'opposa guère de résistance et ouvrit la bouche. Puis,
enroulant sa langue brûlante autour de son doigt, il le suça,
lui administrant le traitement dont il avait gratifié ses tétons
l'autre nuit.
Des frissons la parcoururent tout entière, tandis que sa
poitrine se soulevait, tendant son pull sous lequel elle était
pratiquement nue.
Quand le regard d'Adam tomba sur ses seins, il ôta à regret son
doigt de sa bouche, préleva un gâteau sur le plateau et le dégusta
en s'écartant prudemment de trente bons centimètres.
Elle adopta une nouvelle tactique — la franchise.
— Ecoute, Adam, je sais que tu t'inquiètes à propos du
Frisky's.
— Je me suis trompé sur toute la ligne. Au lieu de te dissuader,je crains que mon attitude... euh... impulsive ne t'ait au contraire
confortée dans ta démarche.
— Tu n'y es pas. En fait, j ' y suis allée pour mon travail.
Je crée de la lingerie et des costumes de scène pour Sugar et
quelques-unes de ses collègues. Vendredi dernier, par exemple,
j ' é t a i s venue livrer la nouvelle tenue de Sugar.
C'était la pièce manquante, et le puzzle s'assembla visiblement
dans l'esprit de son hôte.
— Tu confectionnes des vêtements pour les strip-teaseuses ?
C'est pour ça que j ' a i aperçu chez toi ce soutien-gorge vert et
ces sandales à hauts talons en plastique ?
E l l e finit son c a n n e l é et p o s a les doigts sur l e genou
d'Adam.
— J'aurais dû te le dire d'entrée de jeu, mais ton scepticisme
à l'égard de mes capacités de strip-teaseuse m'a tellement énervée
que j ' a i décidé de t e faire marcher.
— Je n'ai j a m a i s pensé que tu n'en serais pas capable, c'est
juste que ça me paraissait inimaginable pour une f i l l e comme
toi.
Elle cilla. Pourquoi était-ce si difficile à c r o i r e ? Elle ne se
voyait pas l'épouser et s'enterrer dans sa ferme. Elle n'avait
qu'une idée en tête : terminer ce qu'ils avaient si bien commencé
la dernière fois.
— Je n'ai jamais eu l'intention de danser au Frisky's, figure-toi,
mais j ' e n avais plus qu'assez que tu me considères uniquement
comme l a soeur de Colin et Dane.
Adam se passa la main sur le front.
— Le petit numéro de l'autre jour, alors, c'était quoi au
j u s t e?
Elle prit une profonde inspiration. C'était le moment ou
jamais.— Tu as toujours été froid comme un glaçon avec moi.
J'avais envie que ça change.
— Te rends-tu compte de ce que tu d i s ? Et ta famille, tu
y as p e n s é?
— Je suis une grande f i l l e , maintenant, Adam. On est
à Chicago, pas dans le Wisconsin. Comment veux-tu qu'ils
l'apprennent?
— Chicago ou Las Vegas ? lança Adam, pince-sans-rire.
Elle se rapprocha de lui, cuisse contre cuisse.
— Las Vegas? Quelle riche idée ! On y v a ? Ta as besoin
de vacances, après tout. Et puis nous sommes deux adultes
consentants, n o n?
Il posa la main sur la sienne et fit glisser ses doigts le long
de son bras.
— Bridget, sais-tu réellement ce que tu veux ?
— Je te veux, toi. Sur moi, en moi, répondit-elle sans réfléchir,
suffoquée par son audace.
Il lui enserra le poignet.
— Tu ne sais pas ce que tu dis. Je ne p e u x rien te promettre.
Si tu crois encore aux contes de fées et aux romances à l'eau de
rose, tu t e trompes d e . . .
— Je te veux, toi, un point c'est tout, coupa-t-elle. J'ai
confiance en toi.
Il l'enveloppa d'un regard brûlant.
— Il me faudrait un courage surhumain pour refuser.
— Personne ne t 'y oblige, répliqua-t-elle avec un sourire
de triomphe.
I l l'examina avec une attention amusée.
— TU as renversé du sucre sur ton pull. Attends, je vais le
nettoyer.
Sans lâcher son poignet, il lui caressa le décolleté de l'autre
main, laissant ses doigts s'égarer sur sa peau dénudée.Elle surprit u n e lueur dans ses yeux, mais seul le tressaillement
qui agitait sa main révélait son trouble.
Adam, elle n'en doutait pas, ne feindrait plus longtemps
l'indifférence à la vue de sa guêpière noire largement échancrée
dans le dos.
Toujours de dos, elle saisit lentement le bas de son pull, leva
les bras très lentement pour le faire passer par-dessus sa tête et le
j e t a sur u n e chaise voisine. Puis, soulevant ses mèches blondes,
elle les laissa cascader sur ses épaules nues en se trémoussant
en cadence.
— Tourne-toi, je veux te voir, ordonna-t-il, d'un ton impérieux
qui la fit frissonner.
Le tendre A d am laissait libre cours à sa nature sauvage dont
elle n'avait eu qu'un trop bref aperçu !
Elle croisa les bras sur sa poitrine et pirouetta sur ses talons,
le coeur battant.
— Qu'est-ce que tu p o r t e s ? questionna-t-il d ' u n e voix
enrouée.
Elle laissa retomber ses mains de chaque côté de son corps
et suivit à la lettre les conseils de Sugar : les épaules en arrière,
la poitrine offerte.
Elle se tint devant lui, les yeux rivés aux siens.
— Adam, murmura-t-elle, comme pour lui d i r e : « Je veux
t'en mettre plein la vue, régarde-moi, prends-moi. »
I l fit m i n e de se lever, m a i s e l l e l e r e p o u s s a sur la
banquette.
— Attends, je n'ai pas fini.
Posant le pied sur le bras du fauteuil le plus proche, elle
promena les doigts j u s q u ' à son genou et remonta avec une
lenteur délibérée j u s q u ' à sa cuisse.

 
 

 

ÚÑÖ ÇáÈæã ÕæÑ nassamate   ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÞÏíã 19-11-10, 08:15 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 18
ÇáãÚáæãÇÊ
ÇáßÇÊÈ:
ÇááÞÈ:

ÇáÈíÇäÇÊ
ÇáÊÓÌíá: May 2010
ÇáÚÖæíÉ: 166011
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 145
ÇáÌäÓ ÃäËì
ãÚÏá ÇáÊÞííã: nassamate ÚÖæ ÈÍÇÌå Çáì ÊÍÓíä æÖÚå
äÞÇØ ÇáÊÞííã: 10

ÇÇáÏæáÉ
ÇáÈáÏMorocco
 
ãÏæäÊí

 

ÇáÅÊÕÇáÇÊ
ÇáÍÇáÉ:
nassamate ÛíÑ ãÊæÇÌÏ ÍÇáíÇð
æÓÇÆá ÇáÅÊÕÇá:

ßÇÊÈ ÇáãæÖæÚ : nassamate ÇáãäÊÏì : ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇÝÊÑÇÖí

 

Oserait-elle poursuivre ? Au point où elle en é t a i t . ..
Sa main se faufila entre ses jambes et se referma sur sa
culotte dont elle écarta le tissu, révélant sa chair pâle et sa
toison humide.
Adam écarquilla les yeux.
— C'est quoi, ce truc ?
— Mon cher, ce « truc » est un vêtement démodé convenant
à une bonne petite fille. Une guêpière et une culotte longue
fendue.
La pique l e f i t sourire. Un sourire carnassier, lourd de promesses.
— Les bonnes petites filles font tout ce qu'on leur dit.
Elle voulut se rebiffer, mais se ravisa. Autant j o u e r le j e u , si
elle voulait parvenir à ses fins. Elle se lançait sans filet, mais
cette fois A d am n'allait pas se débarrasser d'elle si facilement, à
en juger par la façon dont son pantalon commençait à enfler.
— Je ferai tout ce que tu me commanderas.
— Assieds-toi.
Elle obéit, les genoux étroitement serrés, sa respiration oppressée
lui gonflant la poitrine à mesure que montait l'anticipation.
— Caresse-toi les seins.
Elle soupesa les globes laiteux et passa le doigt sur les
tétons.
— Allonge les jambes.
Elle fléchit délibérément les cuisses sur le côté, même si ce
n'était pas ce qu'il demandait.
Adam se leva en secouant la tête.
— Les bonnes petites filles ne savent pas toujours comment
s'y prendre, n'est-ce pas ? C'est normal. Mais je suis un excellent
professeur, et je vais te montrer ce que je veux dans les détails,
d'accord?
Elle opina allègrement.
Repoussant la mèche sombre qui lui barrait le front, Adams'accroupit devant elle et lui sépara délicatement les genoux, le
regard concentré sur son intimité.
— Voilà, comme ça. Oh, cette culotte fendue ! J'adore !
— Il s'agit d'une authentique culotte longue, précisa-t-elle,
résistant à l'envie de couvrir pudiquement sa nudité.
Au fond, elle était plus vieux j e u qu'elle ne l'aurait cru.
Il lui saisit une j a m b e et la posa sur l'un des accoudoirs, avant
de renouveler l'opération avec l'autre.
— Je peux enfin te regarder. Que tu es belle ! s'extasia-t-il
en infiltrant un doigt dans l'ouverture pour effleurer sa chair
moite. Dire que, ce soir, j e n'aurais eu qu'à retrousser t a j u pe
et ton pull pour que tu sois quasiment nue, à ma disposition.
Que de temps perdu !
Les doigts d'Adam se rapprochaient dangereusement de son
clitoris. Une vague de désir la submergea, et elle ferma les yeux.
Elle les rouvrit de surprise quand i l usa de sa langue.
— Adam!
Celui-ci sourit, le regard étincelant. Baissant la tête, il entreprit
de lécher l'orée de son sexe à petits coups précis, trouvant
et encerclant le petit bourgeon durci qu'il se mit à mordiller
plus fort. Il Fécartela, explorant de la langue ses replis les plus
intimes, accomplissant des choses qu'elle n'aurait crues possibles
que dans les livres.
En comparaison, ses expériences passées lui paraissaient
bien insipides.
Elle plongea les doigts dans ses boucles sombres, se liquéfiant
sous ses caresses, humant son odeur musquée pareille à
la senteur des pins après la pluie.
Il glissa les mains sous ses fesses pour la plaquer contre sa
bouche.
— Tu es chaude et mouillée, exactement comme je l'espérais,
l'entendit-eile murmurer.Elle sentit sa raison défaillir.
Le supplice exquis que lui infligeaient ses lèvres lui ôtait
toute inhibition. Sa langue la rendait folle de désir, éveillant
dans chaque parcelle de son corps des vagues de jouissance
qui refluaient vers son ventre. .
Adam continuait à lui masser les fesses en cadence tandis
que sa langue fouillait plus profondément son sexe trempé.
Inconsciemment, elle f i t glisser ses j a m b e s du fauteuil et les
reposa sur ses épaules, la barbe naissante de ses joues frottant
sensuellement ses cuisses. Le souffle court, elle gémit quand
il entreprit de laper son clitoris vite et fort.
Alors que ses paumes descendaient le long de la fente de
ses fesses, elle lâcha un cri d'extase, au bord de l'orgasme, et
chavira dans un océan de délices insoupçonnées.
Elle bougea, se contorsionna, ses cuisses délicieusement
endolories enserrant étroitement la tête d'Adam, pendant que
sa langue s'activait en elle, prolongeant ses derniers spasmes
de plaisir.
Puis A d am s'écarta pour déboutonner s a chemise, manquant
arracher les boutons dans sa précipitation.
Elle écarquilla les yeux, contempla son torse mince et musclé,
sa toison brune disparaissant sous sa ceinture où elle rêvait de
plonger les doigts.
Il défit sa ceinture, puis, d'un même mouvement, enleva son
pantalon et son boxer, exposant son membre dressé.
Elle l'imagina, chaud et dur, l'emplissant j u s q u ' à la garde,
et une onde de désir contracta son sexe. Elle se laissa glisser à
terre et s'agenouilla à ses pieds pour le prendre dans sa bouche,
lui arrachant un gémissement rauque.
Sa peau douce et veloutée lui brûla presque les lèvres. Elle
captura l'extrémité de son gland du bout de l a langue pour ensavourer le goût salé, lui encerclant les fesses pour l'empêcher
de s'écarter.
Mais A d am n'avait aucune intention de se dérober. Il enfouit
ses mains dans ses cheveux et, d'un coup de reins, rapprocha
son sexe de son visage.
Encouragée, elle le prit dans sa bouche, de plus en plus loin,
ne s'arrêtant que pour le titiller du bout des dents, grisée par le
goût de sa semence sur sa langue.
Adam, le souffle court, contempla Bridget qui, les yeux
clos, suçait son sexe palpitant avec concentration, ses seins se
balançant à chaque mouvement.
Même dans ses rêves les plus fous, il n'aurait j a m a i s cru
voir pareil spectacle. Il songea à l'arrêter avant de perdre tout
contrôle, mais elle emprisonna ses fesses et se mit à les pétrir
fermement.
Sa bouche était aussi douce et chaude que son intimité.
Quand sa langue balaya son gland une fois de plus, il ne
résista plus et pénétra plus profond en elle avec un grognement
sourd. Son corps s'arqua, il était tout prêt de l'orgasme.
— Bridget ! haleta-t-il en se retirant. Stop, je vais j o u i r !
Elle le dévisagea d'un air surpris.
— Ah?
Elle se redressa, leva les bras et se mit à frotter ses tétons
sur son pénis érigé.
— Je t'ai dit d'arrêter, répéta-t-il en suffoquant. Retourne
dans le fauteuil, ajouta-t-il en attrapant son portefeuille pour y
prendre un préservatif.
Elle obéit et s'assit, les paupières pudiquement baissées,
les cuisses écartées, les jambes sur les accoudoirs, exposantà ses regards avides son sexe nacré trempé de désir, prêt à
l'accueillir.
Il déchira l'enveloppe et enfila le latex de ses doigts tremblants.
— Touche-toi. Je veux que tu jouisses encore une fois, en
même temps que moi, j e ne peux plus attendre.
Elle écarquilla les yeux, insinua une main dans sa toison et
se mit à caresser son clitoris, ravalant un gémissement de plaisir.
Elle lécha les doigts de son autre main et la fit courir sur ses
seins dont elle agaça les bouts, qui s'érigèrent fièrement.
I l se pencha, les j a m b e s flageolantes, subjugué par cette
flamboyante nudité, dont la blancheur contrastait avec le noir
de sa guêpière. Si elle n'avait pas porté une culotte fendue, il
l'aurait déchirée avec ses dents.
— Tu es p r ê t e ? demanda-t-il en frottant son sexe contre le
sien avant d'y introduire l'extrémité.
Elle était si chaude, si humide, si étroite...
Une pensée extravagante lui traversa l'esprit.
— Chérie, tu l'as déjà fait, n'est-ce pas ? Je veux d i r e . . . Je
ne suis pas l e premier?
Bridget lui noua ses jambes autour de la taille pour mieux
le pousser en elle.
— Non, mais ça fait très longtemps.
Les yeux exorbités, il se retira, de crainte de finir avant d'avoir
commencé, tant leurs sexes s'emboîtaient à la perfection. Cela
faisait longtemps pour lui aussi.
Il la pénétra de nouveau et se remit à bouger avec lenteur,
puis plus vite, plus fort, lui arrachant un cri de surprise tandis
qu'elle se contractait autour de lui.
Il planta ses yeux dans son regard clair.
— Bridget...
Sa voix se brisa.Comment lui dire qu'il avait la sensation de ne former qu'un
avec elle, comme si leurs corps se reconnaissaient, que ce moment
qu'il attendait depuis toujours devait durer à j a m a i s . . .
Qu'allait-il imaginer? se morigéna-t-il. C'était j u s t e l'attrait
de la nouveauté, après ces longs mois d'abstinence.
Il ancra ses pieds dans le tapis, et ses coups de reins se firent
plus frénétiques.
Les jambes gainées de soie de Bridget enveloppaient ses
hanches dans un cocon soyeux, mais ce n'était rien en comparaison
de l'étroit fourreau qui enserrait son sexe comme un étau
de velours. Une fraction de seconde, il regretta la présence du
préservatif qui l'empêchait de baigner dans cet océan de douceur
humide, dont i l imaginait la tiédeur en dépit du latex. Peut-être
plus tard, quand leur relation s'approfondirait, à condition bien
sûr qu'elle utilise un autre moyen de contraception...
Leur relation?
Bridget glissa la main entre ses jambes et commença à se
caresser le clitoris, coupant court à ses réflexions.
Il accéléra ses allées et venues, son sexe coulissant en elle de
plus en plus loin pour l'emmener au seuil de l'extase.
Elle inclina la tête, les j o u e s empourprées, au bord de la
jouissance.
— Viens, Bridget, chuchota-t-il en lui mordillant le lobe
de l'oreille. Jouis avec moi, espèce de petite dévergondée qui
se promène les seins et les fesses à l'air et se laisse baiser sur
un fauteuil.
Elle se figea, et i l se dit qu'il était allé trop loin.
Mais, agrippée à ses hanches, secouée de spasmes, Bridget
lui griffa le dos, emportée dans une course vertigineuse, avant
de sombrer, pantelante, dans un océan de délices.
— Oh, Adam, o u i . . . , murmura-t-elle d ' u n e petite voix
tremblante.Il résistait pour faire durer son plaisir le plus longtemps
possible, mais ce fut trop. Il plongea en elle plus vite, plus fort,
si fort qu'il craignit que le latex se rompe sous ses poussées, et
i l explosa en trois coups de reins.
C'était l'extase. Quand avait-il eu un orgasme aussi fabuleux ?
Jamais. Ses bonnes résolutions s'étaient évanouies dans son
cerveau embrumé par l a passion.
Les jambes endolories, il se retira, luttant pour reprendre
son souffle.
I l n'était pas question de faux-semblants. Une f i l l e comme
Bridget méritait un homme solide, f i e r de ses racines, un homme
normal, quoi. Il lui donnerait tout le plaisir du monde, tant que
cela ne représenterait rien de plus, qu'elle ne s'attacherait pas et
ne se mettrait pas dans la tête qu'il était son Prince charmant.
— Adam?
— Oui, chérie ?
Elle était si belle, languissamment offerte sur ce fauteuil !
Son excitation se réveilla. Il songea à raviver la sienne à l'aide
de quelques caresses. Serait-elle trop timide pour s'installer à
califourchon sur lui, à moins q u e . ..
— Adam ? répéta-t-elle, interrompant ses fantasmes erotiques.
A propos de ce que tu m'as dit tout à l ' h e u r e . ..
— Je suis désolé, Bridget. J'ai été trop loin, je sais. Je ne te
forcerai j a m a i s , si tu n'en as pas envie.
Quoique, à la réflexion, elle n'avait pas du tout eu l'air
offusquée.
— Non, non. C'est j u s t e que personne ne m'avait j a m a is
parlé comme ça. J e . . . — elle s'interrompit — j e voulais dire
que j ' a i adoré.
Ah ! La bonne petite f i l le cachait bien son j e u ! Ses dessous
coquins et sa réceptivité auraient dû lui mettre la puce à l'oreille.
Puisqu'elle semblait aimer ça, il pourrait essayer quelquesexpériences nouvelles et pimenter leurs ébats ? Peut-être se
montrerait-elle coopérative ?
Pas dans ce fauteuil. Après une séance pareille, il aspirait à
quelque chose de plus confortable..
— Si on essayait autre chose que ton canapé ou mon fauteuil ?
Que dirais-tu de l a position horizontale, pour changer?
— Est-ce ma faute si tu étais si pressé ?
— Oh oui, confirma-t-il en la soulevant dans ses bras pour
gagner la chambre. C'était entièrement ta faute.

 
 

 

ÚÑÖ ÇáÈæã ÕæÑ nassamate   ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÞÏíã 24-11-10, 11:32 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 19
ÇáãÚáæãÇÊ
ÇáßÇÊÈ:
ÇááÞÈ:

ÇáÈíÇäÇÊ
ÇáÊÓÌíá: Aug 2009
ÇáÚÖæíÉ: 149309
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 5
ÇáÌäÓ ÃäËì
ãÚÏá ÇáÊÞííã: assouma55 ÚÖæ ÈÍÇÌå Çáì ÊÍÓíä æÖÚå
äÞÇØ ÇáÊÞííã: 10

ÇÇáÏæáÉ
ÇáÈáÏTunisia
 
ãÏæäÊí

 

ÇáÅÊÕÇáÇÊ
ÇáÍÇáÉ:
assouma55 ÛíÑ ãÊæÇÌÏ ÍÇáíÇð
æÓÇÆá ÇáÅÊÕÇá:

ßÇÊÈ ÇáãæÖæÚ : nassamate ÇáãäÊÏì : ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇÝÊÑÇÖí

 

merci bien pour le roman et bonne continuation

 
 

 

ÚÑÖ ÇáÈæã ÕæÑ assouma55   ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÞÏíã 06-12-10, 05:02 PM   ÇáãÔÇÑßÉ ÑÞã: 20
ÇáãÚáæãÇÊ
ÇáßÇÊÈ:
ÇááÞÈ:

ÇáÈíÇäÇÊ
ÇáÊÓÌíá: Aug 2010
ÇáÚÖæíÉ: 185356
ÇáãÔÇÑßÇÊ: 12
ÇáÌäÓ ÃäËì
ãÚÏá ÇáÊÞííã: rahkarina ÚÖæ ÈÍÇÌå Çáì ÊÍÓíä æÖÚå
äÞÇØ ÇáÊÞííã: 10

ÇÇáÏæáÉ
ÇáÈáÏTunisia
 
ãÏæäÊí

 

ÇáÅÊÕÇáÇÊ
ÇáÍÇáÉ:
rahkarina ÛíÑ ãÊæÇÌÏ ÍÇáíÇð
æÓÇÆá ÇáÅÊÕÇá:

ßÇÊÈ ÇáãæÖæÚ : nassamate ÇáãäÊÏì : ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÇÝÊÑÇÖí

 

merci pour le romain c est gentille

 
 

 

ÚÑÖ ÇáÈæã ÕæÑ rahkarina   ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ
ÅÖÇÝÉ ÑÏ

ãæÇÞÚ ÇáäÔÑ (ÇáãÝÖáÉ)
facebook




ÌÏíÏ ãæÇÖíÚ ÞÓã ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÇÌäÈíÉ
ÃÏæÇÊ ÇáãæÖæÚ
ãÔÇåÏÉ ÕÝÍÉ ØÈÇÚÉ ÇáãæÖæÚ ãÔÇåÏÉ ÕÝÍÉ ØÈÇÚÉ ÇáãæÖæÚ
ÊÚáíãÇÊ ÇáãÔÇÑßÉ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÅÖÇÝÉ ãæÇÖíÚ ÌÏíÏÉ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÇáÑÏ Úáì ÇáãæÇÖíÚ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÅÑÝÇÞ ãáÝÇÊ
áÇ ÊÓÊØíÚ ÊÚÏíá ãÔÇÑßÇÊß

BB code is ãÊÇÍÉ
ßæÏ [IMG] ãÊÇÍÉ
ßæÏ HTML ãÚØáÉ
Trackbacks are ãÊÇÍÉ
Pingbacks are ãÊÇÍÉ
Refbacks are ãÊÇÍÉ



ÇáÓÇÚÉ ÇáÂä 08:31 PM.


 



Powered by vBulletin® Version 3.8.11
Copyright ©2000 - 2024, Jelsoft Enterprises Ltd.
SEO by vBSEO 3.3.0 ©2009, Crawlability, Inc.
ÔÈßÉ áíáÇÓ ÇáËÞÇÝíÉ