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النجده خخ

salut tout le monde عندي مادة بحث وطلع عندي فيها اختبار يوم الاثنين يعني بعد بكره وكان واصلني موعد خطا بعد كده سو اتفاجات لما عرفت الموعد فاحتاج

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قديم 21-04-07, 10:55 PM   المشاركة رقم: 1
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Heeeelllllooooo النجده خخ

 

salut tout le monde
عندي مادة بحث وطلع عندي فيها اختبار يوم الاثنين يعني بعد بكره وكان واصلني موعد خطا بعد كده
سو اتفاجات لما عرفت الموعد فاحتاج مساااااعده يدوووب عشان الحق اذاكر
الاختبار عباره عن مناقشه لقصه لموباسنت والقصه عندي بس ترجمتها على العموم وانا مطالبه بالمعاني ومرره الترجمه تاخد وقت فلو ممكن احد يساعدني يعطيني معاني الكلمات للقصه واكون جدا جدا جدا شاكره ليه ويكون ساعدني في مشكلتي لاني من جد حايسه ومو عارفه كيف حلحق اذاكر
القصه هي

LA PARURE


C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique.
Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames.
Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention.
Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: « Ah ! le bon pot-au-feu ! je ne sais rien de meilleur que cela », elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte.
Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée.
Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.
Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe.
-Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi.
Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots:
"Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M. et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier."
Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:
- Que veux-tu que je fasse de cela?
- Mais, ma chérie, je pensais que tu serais *******e. Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle ! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir. Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés. Tu verras là tout le monde officiel.
Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience:
- Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là?
Il n'y avait pas songé; il balbutia:
- Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi...
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya:
- Qu'as-tu? qu'as-tu?
Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides:
- Rien. Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi.
Il était désolé. Il reprit:
- Voyons, Mathilde. Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple?
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe.
Enfin, elle répondit en hésitant:
- Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver.
ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche.
Il dit cependant:
- Soit. Je te donne quatre cents francs. Mais tâche d'avoir une belle robe.
Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa toilette était prête cependant. Son mari lui dit un soir:
- Qu'as-tu? Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours.
Et elle répondit:
- Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi. J'aurai l'air misère comme tout. J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée.
Il reprit:
- Tu mettras des fleurs naturelles. C'est très chic en cette saison-ci. Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques.
Elle n'était point convaincue.
- Non... il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches.
Mais son mari s'écria:
- Que tu es bête ! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela.
Elle poussa un cri de joie.
- C'est vrai. Je n'y avais point pensé.
Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:
- Choisis, ma chère.
Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre. Elle demandait toujours:
- Tu n'as plus rien d'autre?
- Mais si. Cherche. Je ne sais pas ce qui peut te plaire.
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré. Ses mains tremblaient en la prenant. Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante, et demeura en extase devant elle-même.
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse:
- Peux-tu me prêter cela, rien que cela?
- Mais oui, certainement.
Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avec emportement, puis s'enfuit avec son trésor.
Le jour de la fête arriva. Mme Loisel eut un succès. Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle. Le Ministre la remarqua.
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au cœur des femmes.
Elle partit vers quatre heures du matin. Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup.
Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal. Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures.
Loisel la retenait:
- Attends donc. Tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre.
Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier. Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin.
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants. Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour.
Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux. C'était fini, pour elle. Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au Ministère à dix heures.
Elle ôta les vêtements dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire. Mais soudain elle poussa un cri. Elle n'avait plus sa rivière autour du cou !
Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda:
- Qu'est-ce que tu as?
Elle se tourna vers lui, affolée:
- J'ai... j'ai... je n'ai plus la rivière de Mme Forestier.

ومرره شكرا على كل حال
ياليت اللي يقدر يساعدني فيها يخبرني هنا او على الخاص وشكككرا
تحياتي
صوووص

 
 

 

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قديم 22-04-07, 02:17 PM   المشاركة رقم: 2
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ما استوعبت عاوزه ترجمه او مناقشه؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟؟
يعني قولي بالضبط و بالفرنسيه شو مطلوب منك تقدمي

 
 

 

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قديم 22-04-07, 03:06 PM   المشاركة رقم: 3
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Resumé+Mini-commentaire composé sur le dénouement

Nous sommes à Paris, au XIXe siècle. Mathilde, une très belle femme, était née d'une famille d'employés et s'était laissé marier avec un petit commis de l'Instruction publique. Aussi était-elle malheureuse, car elle se sentait déclassée. Un jour, son époux, M. Loisel, lui rapporta une invitation de la part du ministre de l'Instruction publique, M. Georges Ramponneau, et de sa femme pour une soirée. Refusant d'abord avec tristesse, n'ayant rien à se mettre, Mme Loisel reprit sa bonne humeur lorsque son époux consentit à lui donner 400F pour qu'elle puisse s'acheter une toilette convenable, bien qu'il gardât cette somme pour s'acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre.

Cependant, le jour de la fête approchait et Mathilde semblait triste: sa toilette était prête, mais elle n'avait pas de bijoux. Son époux lui suggéra d'aller voir Mme Forestier, une amie riche et une camarade de couvent de Mathilde. Celle-ci lui prêta une rivière de diamants.

À la fête, Mathilde obtint beaucoup de succès. Tout le monde la remarquait. Pour revenir chez eux, le couple Loisel prit un fiacre. Puis, de retour dans son appartement, Mathilde remarqua qu'elle n'avait plus la rivière de diamants. Ne la retrouvant plus, les Loisel décidèrent de la remplacer pour 36 000F, à l'insu de Mme Forestier. M. Loisel avait déjà 18 000F de son père; il emprunta donc le reste, compromettant son avenir. Pendant les 10 années qui suivirent, les Loisel travaillèrent à restituer leur dette, connaissant une vie pauvre et misérable. Puis, un jour, rencontrant Mme Forestier, Mathilde lui raconta toute l'histoire. C'est cette partie que j'approfondirai, soit le dénouement de «La Parure».

***

J'ai choisi le dénouement de cette nouvelle parce qu'il est un de ceux dont la surprise finale me plaît le plus. Mis en relief avec la nouvelle dans son ensemble, nous pouvons d'ailleurs en tirer une leçon, une réflexion qu'il nous appartient de poursuivre. Les qualités littéraires du ****e sont également intéressantes.

Ainsi, nous nous trouvons à l'endroit où Mme Loisel va se promener aux Champs-Élysées. Là, elle voit Mme Forestier. Les adjectifs qualificatifs employés pour la décrire - «jeune», «belle» et «séduisante» - , soulignés par l'adverbe «toujours», constituent une antithèse vis-à-vis la description de Mme Loisel (dans le ****e précédant le dénouement) qui, au cours des dix années de sa vie de labeur, est décrite comme «vieille», «mal peignée», «forte, et dure, et rude». En effet, après avoir perdu la rivière de diamants de son amie, elle et son mari avaient décédé de remplacer secrètement le collier. Ils avaient donc dû par la suite travailler au remboursement de leur dette, car ils avaient emprunté. Le couple avait donc connu, pendant les dix dernières années, l'horrible vie des nécessiteux. Enfin, Mathilde est tellement changée que son amie ne la reconnaît même plus lorsqu'elle tente de lui parler. Ainsi dit-elle: «Mais... madame!... Je ne sais... Vous devez vous tromper.» et un peu plus loin: «Oh!... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!...»

Mathilde décide de tout révéler à son amie au sujet de la rivière de diamants que Mme Forestier lui avait prêtée. «Oui, j'ai eu des jours bien durs,» dit-elle, «depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères... et cela à cause de toi!...» Elle intrigue Mme Forestier, elle n'est pas explicite, elle ne dit pas tout, ce qui se traduit par des points de suspension. Mme Forestier interroge Mme Loisel, et cette dernière lui explique l'histoire. Mathilde confie à son amie qu'elle avait perdu son collier et qu'elle l'avait remplacé par un autre qu'elle et son mari s'étaient appliqués à payer depuis dix ans. Enfin, elle ajoute: «Tu comprends que ça n'a pas été aisé pour nous, qui n'avions rien...» «Rien» est un terme fort ici, et il est suivi de points de suspension. En fait, il s'agit encore d'une opposition, d'une antithèse entre la pauvreté des Loisel et la richesse de Mme Forestier.

Mme Forestier, toute surprise, veut s'assurer d'avoir bien compris et demande à Mathilde de confirmer ce qu'elle a entendu. Puis, «d'une joie orgueilleuse et naïve», comme cela est dit, Mathilde sourit au fait que son amie ne s'était aperçue de rien, que les deux rivières de diamants étaient bien pareilles.

Mais voilà le rebondissement final: le collier que lui avait prêtée Mme Forestier était faux, et valait au plus 500F! Dix ans de misère inutile pour rembourser les 36 000F que lui avait coûté l'autre.

De l'envie de paraître de Mme Loisel est né son malheur. De son orgueil est né l'absurde. Si elle avait été sincère dès le début en avouant la perte du collier à son amie, elle aurait évité toute cette comédie triste qui s'est terminée par une ironie tragique. Un simple bijou fait la catastrophe de deux existences, un bijou qui finalement ne valait pas grand chose. Mais la soif du paraître et de l'admiration, qui flatte l'amour-propre, qui met en valeur, a dirigé leur vie comme elle dirige celle de bien des gens encore aujourd'hui. C'est un appel à la réflexion, une dénonciation de l'absurdité.

Par ailleurs, nous pouvons voir combien ce dénouement est concis, allant droit au but, sans détour, et combien il est prompt, vif et bref.


يعني بالختصار شديد ماتيلد فتاه جميله لكن فقيره تزوجت موظف بسيط تمت دعوتهما الى حفله و نظرا لرغبتها في الظهور بمظهر لائق(اكبر من امكانياتها)اقترضت عقد من الماس و لكنها اضاعته بعد الحفل و لم تخبر صديقتها عن ضياعه و فضلت تعويضه مما اضطرها هي و زوجها الى التخلي عن مدخراتهما و الاستدانه ومن ثمة مقاسات شظف العيش لمدة 10 سنوات الى التقت صديقتها و صارحتها بما قاسته من جراء العقد عندها اخبرتها انه زائف و ثمنه رخيص جدا

 
 

 

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قديم 22-04-07, 04:18 PM   المشاركة رقم: 4
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القصه مترجمه للعربيه على هذا الرابط

http://www.4shared.com/file/14516779...la_parure.html

 
 

 

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قديم 22-04-07, 07:51 PM   المشاركة رقم: 5
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مرررررره شكرا غاليتي انا فاهمه القصه بالعموم بس كنت محتاجه لترجمة المفردات تبع القصه مررره يعطيك العافيه
tu es vraiment très gentille. merci

والمطلوب مني اني اناقش القصه وشخصية مدام لوازيل وشخصية زوجها
احداث القصه والمفردات تبعها
شكرا لك مره اخرى

تحياتي
صوص

 
 

 

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