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kahina 22-06-07 09:13 PM

ÃãËÇá æ ÇÞæÇá
 
Proverbes et Citations

Chaque instant de la vie est un pas vers la mort.
Corneille (Pierre)
ßá áÍÙÉ Ýí ÇáÍíÇÉ åí åí ÎØæÉ äÍæ ÇáãæÊ


Il y a l'amour [...] Et puis il y a la vie, son ennemie.
Anouilh (Jean)
åäÇß ÇáÍÈ Ëã åäÇß ÇáÍíÇÉ ÚÏæÊå


L'absence est à l'amour ce qu'est au feu le vent ;
Il éteint le petit, il allume le grand

Bussy-Rabutin
ÇáÛíÇÈ åæ ááÍÈ ßÇáÑíÍ ááäÇÑ ÊØÝÆ ÇáÕÛíÑå æ ÊÄÌÌ ÇáßÈíÑÉ




Il ne faut choisir pour épouse que la femme qu'on choisirait pour ami, si elle était homme.
Joubert (Joseph)
áÇ ÊÎÊÑ ÇãÑÃå ßÒæÌå ÇáÇ ÇáãÑÃå ÇáÊí ßäÊ ÓÊÕÇÏÞåÇ áæ ßÇäÊ ÑÌáÇ


Le meilleur moyen pour apprendre à se connaître, c'est de chercher à comprendre autrui.
Gide (André)
ÇÝÖá ØÑíÞå áÝåã äÝÓß åí Çä ÊÍÇæá Ýåã ÇáÂÎÑíä


Le bonheur est comme l'écho : il vous répond : mais il ne vient pas.
ÇáÍíÇÉ ßÇáÕÏì íÌíÈß æ áßäå áÇ íÃÊí


" Crois, si tu veux, que des montagnes ont changés de place ; mais ne crois pas que des hommes puissent changer de caractère. "
ÊÓÊØíÚ ÊÕÏíÞ Çä ÇáÌÈÇá ÞÏ ÊÛíÑ ÇãÇßäåÇ æ áßä áÇ ÊÕÏÞ Çä ÇáÑÌÇá ÞÏ ÊÛíÑ ØÈÇÚåÇ


Le plus grand arbre est né d'une graîne menue ; une tour de neuf étages est partie d'une poignée de terre
ÇßÈÑ ÇáÇÔÌÇÑ æáÏ ãä ÍÈÉ ÕÛíÑå¡ÇáÞáÚÉ ÐÇÊ ÇáÇÏæÇÑ ÇáÊÓÚå ÈÏÃÊ ãä ÞÈÖÉ ÊÑÇÈ


Perte d'argent, perte légère ; perte d'honneur, grosse perte ; perte de courage, perte irréparable.
ÎÓÇÑÉ ÇáãÇá ÎÓÇÑÉ ÈÓíØÉ¡ÎÓÇÑÉ ÇáÔÑÝ ÎÓÇÑÉ ßÈíÑå¡ÎÓÇÑÉ ÇáÔÌÇÚÉ áÇ ÊÚæÖ


L'habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même
Albert Camus
ÇáÊÚæÏ Úáì ÇáíÃÓ ÃÝÖÚ ãä ÇáíÃÓ äÝÓå

classicoofou 23-06-07 11:45 AM

bonjour , que des beaux mots qui rechauffe le coeur et j'ajouter que :
Les mots s’inscrivent
Par un mouvement subtil des doigts
La plume glisse ou se heurte
Sur un papier lisse ou grossier

Ils se mettent à se succéder
Fébrilement ou posément
Dévoilant vos états d’âme
Étalant vos pensées secrètes

Les mots transgressent parfois votre raison
Car ils vous semblent interdits
Mais ils sont en vous
Et vous les écrivez

Un mot vous ralentira pourtant
Celui qui enflammera votre conscience
Et, lorsque vous l’écrirez encore
Vos sentiments se déverseront à ses côtés

De ce mot naîtront d’autres mots
Ils s’affoleront, se bouleverseront
La plume n’accostera plus
L’expression se délestera

Si le mot vous écoeure
Par son message remplit d’aigreur
Il vous révoltera
Et votre trouble se décèlera

Si le mot vous questionne
Tourmentant votre esprit
Interpellé, vous y répondrez
Desserrant l’étau de votre cœur.

Si le mot vous rend allègre
Grisé de bonheur, vous vous réjouirez
Il intensifiera vos rêves
Égayant votre vie, ternie par les habitudes

Les mots mouvementés
En cadence, s’articulent
Tel un pantin de bois
Qui, du bout de ses fils s’éveille à la vie

Maryse Froncoux


ÇáÓÇÚÉ ÇáÂä 12:32 AM.

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